Confessions d'un plaisancier en convalescence

Confessions from a Recovering People Pleaser

J'ai envie d'écrire des livres depuis l'âge de 3 ans.

Avant même de savoir lire, je dictais des histoires à mon père, et il les tapait sur notre Atari de la vieille école et les imprimait sur notre imprimante matricielle.

Maintenant que je suis moi-même maman, je réalise combien de patience cela a pris !

Mon père a été un énorme encouragement pour moi dans mon parcours d’écriture. Mais il craignait que si je devenais un auteur publié, j'aurais du mal à accepter les critiques.

Et en fait, il avait raison. Ce fut une grande bataille pour diffuser mes livres. Et si les gens ne les aimaient pas ? Cela ne signifierait-il pas automatiquement qu'ils ne M'aiment pas ?

Et s’ils ne m’aiment pas, alors je suis évidemment une personne terrible, indigne d’amour.

(Oui, le côté dramatique était un peu exagéré.)

Finalement, avec un peu de prière, beaucoup de discours d'encouragement de la part de mon mari et des centaines d'occasions de renforcer ma peau, j'ai réalisé que même si un auteur peut essayer de plaire à chaque lecteur, c'est statistiquement impossible !

Maintenant, au lieu d'essayer d'écrire des livres qui, j'espère, plairont à mes lecteurs, je me suis engagé à écrire les livres que Dieu place dans mon cœur, et je lui laisse les résultats.

Est-ce facile? Pas toujours. Mais c'est mieux que d'essayer de plaire au monde entier !

Et toi? Avez-vous dû développer une peau dure pour gérer les critiques ? Que faites-vous pour vous rappeler que votre travail consiste à plaire à Dieu et non au monde entier ?

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J'ai un cadeau spécial pour toi !

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